Audioguide compris
Plein tarif* : 16,5€
Tarif réduit* : 14,5€
Tarif jeune** : 12,5€
Gratuit : Pour les enfants de moins de 6 ans, les détenteurs d’une carte de ICOM ou ICOMOS et les journalistes
* + de 26 ans, seniors
** étudiants, jeunes (19-25), personnes en situation de handicap, porteurs d’une carte d’invalidité et un accompagnateur, demandeurs d’emploi, porteurs du Pass Education
*** 6-18 ans
Musée Maillol
59-61 Rue de Grenelle,
75007 Paris
FRANCE
Contact et horaires
01 42 22 59 58
Tous les jours de 10h30 à 18h30
Nocturne le mercredi jusqu’à 22h
Accès
Métro 1, 7, 12
Vélib
RER D
Robert Couturier
Fête ses 100 ans au Musée Maillol
Valérie Da Costa
Le musée Maillol accueille du 23 juin au 12 septembre 2005 une exposition rétrospective du sculpteur Robert Couturier qui fête cette année ses cent ans. L’événement revêt un caractère exceptionnel car Robert Couturier est le premier artiste français à célébrer son centenaire en accompagnant de sa présence l’exposition.
Cette exposition réunit une centaine de sculptures et une vingtaine de dessins qui couvrent la longue carrière de l’artiste initiée au début des années vingt et qui s’est poursuivie jusqu’au début du XXIe siècle.
Robert Couturier est le dernier représentant de la sculpture française des années 50, d’une génération d’artistes (Germaine Richier, Alberto Giacometti…) qui a, pendant la Seconde Guerre mondiale, choisi de se tourner vers l’homme et d’en renouveler sa représentation. Robert Couturier est le dernier témoin de cette esthétique mise en place pendant ces années et présentée sur la scène internationale à travers les biennales (Venise, São Paulo, Anvers…) et de nombreuses expositions.
L’artiste se fait très rapidement remarquer à ses débuts. Tout d’abord par Aristide Maillol (1861-1944) lorsqu’il passe le Prix Blumenthal en 1928. Maillol est séduit par ce qu’il appelle l’aspect « mal foutu » de la sculpture de Robert Couturier. Le jeune sculpteur deviendra son élève puis son ami. Ses premières sculptures portent la trace de l’influence de Maillol. Elles sont amples, larges et généreuses dans leurs volumes. Le nu féminin devient sa principale source d’inspiration qu’il n’a cessé d’interpréter durant toute sa vie.
L’oeuvre de Couturier a la particularité d’être construite sur un langage qui fait coexister des formes diverses (étirées, pleines, creuses), comme autant de moyens d’expression interchangeables qui peuplent sa création et affirment son refus de s’en tenir au développement d’une seule orientation esthétique.
Elle présente une diversité de matériaux qui coexistent dans le temps : pierres, plâtres, bronzes et sculptures d’assemblages faites de toutes sortes de supports récupérés au hasard de rencontres. Ses dernières sculptures témoignent de l’incroyable vivacité et du renouveau de sa création.
Ce sont autant de petites constructions d’assemblages faites du presque rien d’objets récupérés et détournés (Femme pistache, 2002 ; Le Peignoir, 2001-2002) que des sculptures monumentales (Femme abri, 2002) que réalise l’artiste.
Le musée Maillol accueille du 23 juin au 12 septembre 2005 une exposition rétrospective du sculpteur Robert Couturier qui fête cette année ses cent ans. L’événement revêt un caractère exceptionnel car Robert Couturier est le premier artiste français à célébrer son centenaire en accompagnant de sa présence l’exposition.
Cette exposition réunit une centaine de sculptures et une vingtaine de dessins qui couvrent la longue carrière de l’artiste initiée au début des années vingt et qui s’est poursuivie jusqu’au début du XXIe siècle.
Robert Couturier est le dernier représentant de la sculpture française des années 50, d’une génération d’artistes (Germaine Richier, Alberto Giacometti…) qui a, pendant la Seconde Guerre mondiale, choisi de se tourner vers l’homme et d’en renouveler sa représentation. Robert Couturier est le dernier témoin de cette esthétique mise en place pendant ces années et présentée sur la scène internationale à travers les biennales (Venise, São Paulo, Anvers…) et de nombreuses expositions.
L’artiste se fait très rapidement remarquer à ses débuts. Tout d’abord par Aristide Maillol (1861-1944) lorsqu’il passe le Prix Blumenthal en 1928. Maillol est séduit par ce qu’il appelle l’aspect « mal foutu » de la sculpture de Robert Couturier. Le jeune sculpteur deviendra son élève puis son ami. Ses premières sculptures portent la trace de l’influence de Maillol. Elles sont amples, larges et généreuses dans leurs volumes. Le nu féminin devient sa principale source d’inspiration qu’il n’a cessé d’interpréter durant toute sa vie.
L’oeuvre de Couturier a la particularité d’être construite sur un langage qui fait coexister des formes diverses (étirées, pleines, creuses), comme autant de moyens d’expression interchangeables qui peuplent sa création et affirment son refus de s’en tenir au développement d’une seule orientation esthétique.
Elle présente une diversité de matériaux qui coexistent dans le temps : pierres, plâtres, bronzes et sculptures d’assemblages faites de toutes sortes de supports récupérés au hasard de rencontres. Ses dernières sculptures témoignent de l’incroyable vivacité et du renouveau de sa création.
Ce sont autant de petites constructions d’assemblages faites du presque rien d’objets récupérés et détournés (Femme pistache, 2002 ; Le Peignoir, 2001-2002) que des sculptures monumentales (Femme abri, 2002) que réalise l’artiste.
Le musée Maillol accueille du 23 juin au 12 septembre 2005 une exposition rétrospective du sculpteur Robert Couturier qui fête cette année ses cent ans. L’événement revêt un caractère exceptionnel car Robert Couturier est le premier artiste français à célébrer son centenaire en accompagnant de sa présence l’exposition.
Cette exposition réunit une centaine de sculptures et une vingtaine de dessins qui couvrent la longue carrière de l’artiste initiée au début des années vingt et qui s’est poursuivie jusqu’au début du XXIe siècle.
Robert Couturier est le dernier représentant de la sculpture française des années 50, d’une génération d’artistes (Germaine Richier, Alberto Giacometti…) qui a, pendant la Seconde Guerre mondiale, choisi de se tourner vers l’homme et d’en renouveler sa représentation. Robert Couturier est le dernier témoin de cette esthétique mise en place pendant ces années et présentée sur la scène internationale à travers les biennales (Venise, São Paulo, Anvers…) et de nombreuses expositions.
L’artiste se fait très rapidement remarquer à ses débuts. Tout d’abord par Aristide Maillol (1861-1944) lorsqu’il passe le Prix Blumenthal en 1928. Maillol est séduit par ce qu’il appelle l’aspect « mal foutu » de la sculpture de Robert Couturier. Le jeune sculpteur deviendra son élève puis son ami. Ses premières sculptures portent la trace de l’influence de Maillol. Elles sont amples, larges et généreuses dans leurs volumes. Le nu féminin devient sa principale source d’inspiration qu’il n’a cessé d’interpréter durant toute sa vie.
L’oeuvre de Couturier a la particularité d’être construite sur un langage qui fait coexister des formes diverses (étirées, pleines, creuses), comme autant de moyens d’expression interchangeables qui peuplent sa création et affirment son refus de s’en tenir au développement d’une seule orientation esthétique.
Elle présente une diversité de matériaux qui coexistent dans le temps : pierres, plâtres, bronzes et sculptures d’assemblages faites de toutes sortes de supports récupérés au hasard de rencontres. Ses dernières sculptures témoignent de l’incroyable vivacité et du renouveau de sa création.
Ce sont autant de petites constructions d’assemblages faites du presque rien d’objets récupérés et détournés (Femme pistache, 2002 ; Le Peignoir, 2001-2002) que des sculptures monumentales (Femme abri, 2002) que réalise l’artiste.
Musée Maillol, 2021
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