Audioguide compris
Plein tarif* : 16,5€
Tarif réduit* : 14,5€
Tarif jeune** : 12,5€
Gratuit : Pour les enfants de moins de 6 ans, les détenteurs d’une carte de ICOM ou ICOMOS et les journalistes
* + de 26 ans, seniors
** étudiants, jeunes (19-25), personnes en situation de handicap, porteurs d’une carte d’invalidité et un accompagnateur, demandeurs d’emploi, porteurs du Pass Education
*** 6-18 ans
Musée Maillol
59-61 Rue de Grenelle,
75007 Paris
FRANCE
Contact et horaires
01 42 22 59 58
Tous les jours de 10h30 à 18h30
Nocturne le mercredi jusqu’à 22h
Accès
Métro 1, 7, 12
Vélib
RER D
Le Musée Maillol
s'expose
Olivier Lorquin et
Bertrand Lorquin
Le Musée Maillol organise du 20 février au 2 juin 2008 l’exposition « Le Musée Maillol s’expose » permettant au public de découvrir une plus grande partie de la collection du Musée Maillol et de celle de Dina Vierny.
Il existe un dilemme entre des collections permanentes qui sommeillent et des expositions dont l’actualité monopolise tout l’intérêt du public. Le rythme soutenu des expositions depuis l’ouverture du musée Maillol en 1995, près de quarante à ce jour, a fini par occulter la diversité des collections qui le constitue. Or la Fondation Dina Vierny – Musée Maillol réunit deux musées en un. Elle présente d’une part les grandes étapes de l’oeuvre du sculpteur Aristide Maillol, depuis ses premières toiles nabi inspirées par l’exemple de Gauguin jusqu’à son oeuvre ultime, sa sculpture Harmonie (1940-1944) qui restera inachevée. D’autre part, se trouvent réunis les artistes collectionnés par Dina Vierny tout au long de sa vie. Pour relier ces oeuvres entre elles et retrouver la dynamique qui a présidé à leur recherche, nous avons choisi de transformer les collections permanentes en une série d’expositions. Pour présenter les collections en expositions, il fallait donc que le musée Maillol s’expose !
Le choix des artistes présents dans les collections repose sur une certaine conception de l’art moderne et propose le regard d’une femme sur son siècle. Cette conception de l’art moderne, Dina Vierny l’a partagée avec l’une des plus grandes personnalités de son temps, celui qui découvrit Picasso avant Kahnweiler et fit la gloire du Douanier Rousseau : Wilhelm Uhde (1874-1947). Proche des idées du grand esthète et collectionneur, Dina Vierny a consacré l’essentiel de ses recherches à réunir différentes expressions picturales liées au primitivisme moderne, terme que Wilhelm Uhde employait pour désigner le courant de peinture qui débute avec Le Douanier Rousseau et se poursuit chez Séraphine, Rimbert, Bauchant, Bombois, Vivin, Peyronnet. Les primitifs modernes forment un genre aujourd’hui en déshérence. Adulés par des peintres comme Kandinsky et Picasso qui les collectionnaient, ils ont reçu depuis plusieurs étiquettes comme peintres naïfs, maîtres populaires de la réalité ou peintres de l’instinct. Les salles Primitivisme et abstraction tentent de reconstituer cette vision qui s’était établie entre les maîtres de l’abstraction et les primitifs modernes. C’est en 1947 que Dina Vierny ouvre sa galerie au 36 rue Jacob à Paris sur les conseils d’Henri Matisse et de Jeanne Bucher, qui devient sa marraine dans la profession. Les années Galerie réunissent sous la forme d’une exposition les peintres et sculpteurs qui furent exposés dans sa galerie. Elle organise en 1951 l’une des premières expositions personnelles d’importance de Serge Poliakoff (1900-1969) qui vivait alors de la musique comme guitariste dans une formation tzigane. Poliakoff devient rapidement l’un des grands peintres abstraits de l’après-guerre et Dina Vierny collectionne ses oeuvres avec passion.
C’est aussi après la guerre qu’elle fit la connaissance de Serge Charchoune. Né en Russie, Charchoune (1888-1975) avait participé aux différents mouvements avant-gardistes avant de s’établir à Paris dans les années trente pour évoluer vers un cubisme ornemental. Influencé par le purisme d’Ozenfant, il tend alors vers l’abstraction et voit dans le blanc une couleur absolue qu’il utilise pour élaborer une peinture monochrome.
Attentive aux différentes expressions de son époque, Dina Vierny s’intéresse également aux peintres du groupe Cobra dont les oeuvres mêlent les arts primitifs et l’abstraction. Elle consacre plusieurs expositions au peintre Jacques Doucet (1924-1994), seul peintre français ayant participé à la fondation du groupe Cobra autour de la figure du poète Dotremont.
Parmi les différents courants de la sculpture moderne, Dina Vierny choisit d’exposer Robert Couturier qui avait collaboré avec Maillol sur l’une de ses dernières sculptures monumentales, La Rivière. A la différence de Maillol, Couturier invente une sculpture dite « allusive » qui fait l’ellipse des formes préférant le contour au volume. Elle présente également les sculptures d’Emile Gilioli, l’un des grands maîtres de l’abstraction en sculpture, et les oeuvres de Cornelis Zitman, sculpteur hollandais habitant le Vénézuela dont elle fit la connaissance dans les années soixante. Zitman a basé son oeuvre sur l’observation d’une société issue du brassage entre les populations caraïbes et le métissage venu d’Afrique. Partagé entre une soif de beauté et la tentation de déformation inspirée par l’exemple de Picasso, il imprime dans ses sculptures une vision intérieure à la fois terrorisante et sereine.
L’exposition Marcel Duchamp et ses frères, qui s’est tenue à la galerie en 1988, est à l’origine des collections qui réunissent les oeuvres des trois frères Duchamp. Raymond Duchamp-Villon, mort trop jeune, était en passe de devenir l’un des plus grands sculpteurs de sa génération, quant à Jacques Villon, il fut l’inspirateur de la Section d’Or. Marcel Duchamp est largement représenté par la collection des ready-made qui ont changé le cours de l’histoire de l’art moderne.
Après avoir posé pour Henri Matisse, puis exposé ses dessins dans sa galerie, Dina Vierny fit l’acquisition d’un important ensemble de ses oeuvres aujourd’hui réunies dans deux salles du musée.
A partir de la fin des années soixante, Dina Vierny se rend en Union Soviétique où elle fait la connaissance de peintres désignés comme non-officiels. En 1973, elle présente une exposition consacrée aux avant-gardes russes où figurent les oeuvres d’Oscar Rabine, d’Ilya Kabakov, d’Erik Boulatov et de Vladimir Yankilevski, devenus des emblèmes de l’art contemporain russe. Le musée Maillol décide de présenter dans ses collections permanentes une installation d’Ilya Kabakov : La cuisine communautaire qui est une ode dédiée à l’utopie de la collectivisation transformée en cauchemar. Les installations sont un art par essence éphémère qui devient ainsi pérenne.
Toutes ces salles forment des noyaux d’exposition transformant les collections permanentes en une série de manifestations.
Le Musée Maillol organise du 20 février au 2 juin 2008 l’exposition « Le Musée Maillol s’expose » permettant au public de découvrir une plus grande partie de la collection du Musée Maillol et de celle de Dina Vierny.
Il existe un dilemme entre des collections permanentes qui sommeillent et des expositions dont l’actualité monopolise tout l’intérêt du public. Le rythme soutenu des expositions depuis l’ouverture du musée Maillol en 1995, près de quarante à ce jour, a fini par occulter la diversité des collections qui le constitue. Or la Fondation Dina Vierny – Musée Maillol réunit deux musées en un. Elle présente d’une part les grandes étapes de l’oeuvre du sculpteur Aristide Maillol, depuis ses premières toiles nabi inspirées par l’exemple de Gauguin jusqu’à son oeuvre ultime, sa sculpture Harmonie (1940-1944) qui restera inachevée. D’autre part, se trouvent réunis les artistes collectionnés par Dina Vierny tout au long de sa vie. Pour relier ces oeuvres entre elles et retrouver la dynamique qui a présidé à leur recherche, nous avons choisi de transformer les collections permanentes en une série d’expositions. Pour présenter les collections en expositions, il fallait donc que le musée Maillol s’expose !
Le choix des artistes présents dans les collections repose sur une certaine conception de l’art moderne et propose le regard d’une femme sur son siècle. Cette conception de l’art moderne, Dina Vierny l’a partagée avec l’une des plus grandes personnalités de son temps, celui qui découvrit Picasso avant Kahnweiler et fit la gloire du Douanier Rousseau : Wilhelm Uhde (1874-1947). Proche des idées du grand esthète et collectionneur, Dina Vierny a consacré l’essentiel de ses recherches à réunir différentes expressions picturales liées au primitivisme moderne, terme que Wilhelm Uhde employait pour désigner le courant de peinture qui débute avec Le Douanier Rousseau et se poursuit chez Séraphine, Rimbert, Bauchant, Bombois, Vivin, Peyronnet. Les primitifs modernes forment un genre aujourd’hui en déshérence. Adulés par des peintres comme Kandinsky et Picasso qui les collectionnaient, ils ont reçu depuis plusieurs étiquettes comme peintres naïfs, maîtres populaires de la réalité ou peintres de l’instinct. Les salles Primitivisme et abstraction tentent de reconstituer cette vision qui s’était établie entre les maîtres de l’abstraction et les primitifs modernes. C’est en 1947 que Dina Vierny ouvre sa galerie au 36 rue Jacob à Paris sur les conseils d’Henri Matisse et de Jeanne Bucher, qui devient sa marraine dans la profession. Les années Galerie réunissent sous la forme d’une exposition les peintres et sculpteurs qui furent exposés dans sa galerie. Elle organise en 1951 l’une des premières expositions personnelles d’importance de Serge Poliakoff (1900-1969) qui vivait alors de la musique comme guitariste dans une formation tzigane. Poliakoff devient rapidement l’un des grands peintres abstraits de l’après-guerre et Dina Vierny collectionne ses oeuvres avec passion.
C’est aussi après la guerre qu’elle fit la connaissance de Serge Charchoune. Né en Russie, Charchoune (1888-1975) avait participé aux différents mouvements avant-gardistes avant de s’établir à Paris dans les années trente pour évoluer vers un cubisme ornemental. Influencé par le purisme d’Ozenfant, il tend alors vers l’abstraction et voit dans le blanc une couleur absolue qu’il utilise pour élaborer une peinture monochrome.
Attentive aux différentes expressions de son époque, Dina Vierny s’intéresse également aux peintres du groupe Cobra dont les oeuvres mêlent les arts primitifs et l’abstraction. Elle consacre plusieurs expositions au peintre Jacques Doucet (1924-1994), seul peintre français ayant participé à la fondation du groupe Cobra autour de la figure du poète Dotremont.
Parmi les différents courants de la sculpture moderne, Dina Vierny choisit d’exposer Robert Couturier qui avait collaboré avec Maillol sur l’une de ses dernières sculptures monumentales, La Rivière. A la différence de Maillol, Couturier invente une sculpture dite « allusive » qui fait l’ellipse des formes préférant le contour au volume. Elle présente également les sculptures d’Emile Gilioli, l’un des grands maîtres de l’abstraction en sculpture, et les oeuvres de Cornelis Zitman, sculpteur hollandais habitant le Vénézuela dont elle fit la connaissance dans les années soixante. Zitman a basé son oeuvre sur l’observation d’une société issue du brassage entre les populations caraïbes et le métissage venu d’Afrique. Partagé entre une soif de beauté et la tentation de déformation inspirée par l’exemple de Picasso, il imprime dans ses sculptures une vision intérieure à la fois terrorisante et sereine.
L’exposition Marcel Duchamp et ses frères, qui s’est tenue à la galerie en 1988, est à l’origine des collections qui réunissent les oeuvres des trois frères Duchamp. Raymond Duchamp-Villon, mort trop jeune, était en passe de devenir l’un des plus grands sculpteurs de sa génération, quant à Jacques Villon, il fut l’inspirateur de la Section d’Or. Marcel Duchamp est largement représenté par la collection des ready-made qui ont changé le cours de l’histoire de l’art moderne.
Après avoir posé pour Henri Matisse, puis exposé ses dessins dans sa galerie, Dina Vierny fit l’acquisition d’un important ensemble de ses oeuvres aujourd’hui réunies dans deux salles du musée.
A partir de la fin des années soixante, Dina Vierny se rend en Union Soviétique où elle fait la connaissance de peintres désignés comme non-officiels. En 1973, elle présente une exposition consacrée aux avant-gardes russes où figurent les oeuvres d’Oscar Rabine, d’Ilya Kabakov, d’Erik Boulatov et de Vladimir Yankilevski, devenus des emblèmes de l’art contemporain russe. Le musée Maillol décide de présenter dans ses collections permanentes une installation d’Ilya Kabakov : La cuisine communautaire qui est une ode dédiée à l’utopie de la collectivisation transformée en cauchemar. Les installations sont un art par essence éphémère qui devient ainsi pérenne.
Toutes ces salles forment des noyaux d’exposition transformant les collections permanentes en une série de manifestations.
Le Musée Maillol
s'expose
Le Musée Maillol organise du 20 février au 2 juin 2008 l’exposition « Le Musée Maillol s’expose » permettant au public de découvrir une plus grande partie de la collection du Musée Maillol et de celle de Dina Vierny.
Il existe un dilemme entre des collections permanentes qui sommeillent et des expositions dont l’actualité monopolise tout l’intérêt du public. Le rythme soutenu des expositions depuis l’ouverture du musée Maillol en 1995, près de quarante à ce jour, a fini par occulter la diversité des collections qui le constitue. Or la Fondation Dina Vierny – Musée Maillol réunit deux musées en un. Elle présente d’une part les grandes étapes de l’oeuvre du sculpteur Aristide Maillol, depuis ses premières toiles nabi inspirées par l’exemple de Gauguin jusqu’à son oeuvre ultime, sa sculpture Harmonie (1940-1944) qui restera inachevée. D’autre part, se trouvent réunis les artistes collectionnés par Dina Vierny tout au long de sa vie. Pour relier ces oeuvres entre elles et retrouver la dynamique qui a présidé à leur recherche, nous avons choisi de transformer les collections permanentes en une série d’expositions. Pour présenter les collections en expositions, il fallait donc que le musée Maillol s’expose !
Le choix des artistes présents dans les collections repose sur une certaine conception de l’art moderne et propose le regard d’une femme sur son siècle. Cette conception de l’art moderne, Dina Vierny l’a partagée avec l’une des plus grandes personnalités de son temps, celui qui découvrit Picasso avant Kahnweiler et fit la gloire du Douanier Rousseau : Wilhelm Uhde (1874-1947). Proche des idées du grand esthète et collectionneur, Dina Vierny a consacré l’essentiel de ses recherches à réunir différentes expressions picturales liées au primitivisme moderne, terme que Wilhelm Uhde employait pour désigner le courant de peinture qui débute avec Le Douanier Rousseau et se poursuit chez Séraphine, Rimbert, Bauchant, Bombois, Vivin, Peyronnet. Les primitifs modernes forment un genre aujourd’hui en déshérence. Adulés par des peintres comme Kandinsky et Picasso qui les collectionnaient, ils ont reçu depuis plusieurs étiquettes comme peintres naïfs, maîtres populaires de la réalité ou peintres de l’instinct. Les salles Primitivisme et abstraction tentent de reconstituer cette vision qui s’était établie entre les maîtres de l’abstraction et les primitifs modernes. C’est en 1947 que Dina Vierny ouvre sa galerie au 36 rue Jacob à Paris sur les conseils d’Henri Matisse et de Jeanne Bucher, qui devient sa marraine dans la profession. Les années Galerie réunissent sous la forme d’une exposition les peintres et sculpteurs qui furent exposés dans sa galerie. Elle organise en 1951 l’une des premières expositions personnelles d’importance de Serge Poliakoff (1900-1969) qui vivait alors de la musique comme guitariste dans une formation tzigane. Poliakoff devient rapidement l’un des grands peintres abstraits de l’après-guerre et Dina Vierny collectionne ses oeuvres avec passion.
C’est aussi après la guerre qu’elle fit la connaissance de Serge Charchoune. Né en Russie, Charchoune (1888-1975) avait participé aux différents mouvements avant-gardistes avant de s’établir à Paris dans les années trente pour évoluer vers un cubisme ornemental. Influencé par le purisme d’Ozenfant, il tend alors vers l’abstraction et voit dans le blanc une couleur absolue qu’il utilise pour élaborer une peinture monochrome.
Attentive aux différentes expressions de son époque, Dina Vierny s’intéresse également aux peintres du groupe Cobra dont les oeuvres mêlent les arts primitifs et l’abstraction. Elle consacre plusieurs expositions au peintre Jacques Doucet (1924-1994), seul peintre français ayant participé à la fondation du groupe Cobra autour de la figure du poète Dotremont.
Parmi les différents courants de la sculpture moderne, Dina Vierny choisit d’exposer Robert Couturier qui avait collaboré avec Maillol sur l’une de ses dernières sculptures monumentales, La Rivière. A la différence de Maillol, Couturier invente une sculpture dite « allusive » qui fait l’ellipse des formes préférant le contour au volume. Elle présente également les sculptures d’Emile Gilioli, l’un des grands maîtres de l’abstraction en sculpture, et les oeuvres de Cornelis Zitman, sculpteur hollandais habitant le Vénézuela dont elle fit la connaissance dans les années soixante. Zitman a basé son oeuvre sur l’observation d’une société issue du brassage entre les populations caraïbes et le métissage venu d’Afrique. Partagé entre une soif de beauté et la tentation de déformation inspirée par l’exemple de Picasso, il imprime dans ses sculptures une vision intérieure à la fois terrorisante et sereine.
L’exposition Marcel Duchamp et ses frères, qui s’est tenue à la galerie en 1988, est à l’origine des collections qui réunissent les oeuvres des trois frères Duchamp. Raymond Duchamp-Villon, mort trop jeune, était en passe de devenir l’un des plus grands sculpteurs de sa génération, quant à Jacques Villon, il fut l’inspirateur de la Section d’Or. Marcel Duchamp est largement représenté par la collection des ready-made qui ont changé le cours de l’histoire de l’art moderne.
Après avoir posé pour Henri Matisse, puis exposé ses dessins dans sa galerie, Dina Vierny fit l’acquisition d’un important ensemble de ses oeuvres aujourd’hui réunies dans deux salles du musée.
A partir de la fin des années soixante, Dina Vierny se rend en Union Soviétique où elle fait la connaissance de peintres désignés comme non-officiels. En 1973, elle présente une exposition consacrée aux avant-gardes russes où figurent les oeuvres d’Oscar Rabine, d’Ilya Kabakov, d’Erik Boulatov et de Vladimir Yankilevski, devenus des emblèmes de l’art contemporain russe. Le musée Maillol décide de présenter dans ses collections permanentes une installation d’Ilya Kabakov : La cuisine communautaire qui est une ode dédiée à l’utopie de la collectivisation transformée en cauchemar. Les installations sont un art par essence éphémère qui devient ainsi pérenne.
Toutes ces salles forment des noyaux d’exposition transformant les collections permanentes en une série de manifestations.
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